Jet Air BPC assurera la liaison annuelle Paris – Kona en 2016

[QUALIFICATIONS] :

IRONMAN WORLD CHAMPIONSHIP HAWAII

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Pour la 4ème année consécutive, des BPC seront présents aux championnats du monde Ironman à Hawaii. La délégation BPC sera composée de 5 athlètes qui découvriront Big Island pour la 1ère fois.

> Julien Drouault M30-34 (1ère participation). Course de qualification : IM Afrique du Sud (6ème M30-34 & 45ème scratch) ;

> Mélanie Cauvin W35-39 (1ère participation). Course de qualification : IM Bolton (2ème M35-39 & 6ème féminine scratch) ;

> Stéphane Lhomme M40-44 (1ère participation). Course de qualification : IM Zürich (2ème M35-39 & 25ème scratch) ;

> Eric Tomaszewski M45-49 (1ère participation). Course de qualification : IM Vichy 2015 (3ème M45-49 & 47ème scratch) ;

> Corinne Hatin W45-49 (1ère participation). Corinne a décroché son slot à Vichy en 2015 avant de rejoindre BPC.

 

[RESULTATS] :

IRONMAN BOLTON

> Mélanie Cauvin : 11h05’01. 2ème W35-39 & 6ème féminine scratch. NAT : 1h00’48 | VELO : 6h08’56 | CAP : 3h44’16.

Comme évoqué plus haut, Mél décroche son slot pour l’IM d’Hawaii après une course rondement bien menée. Elle manque la 1ère place de son groupe d’âge pour seulement 20 secondes.
Malgré sa faible expérience sur cette distance (c’est seulement son 2ème IM), Mélanie a su parfaitement gérer son effort sur cette course qui propose un des parcours les plus difficiles du circuit (topographie et conditions météorologiques). C’est une énorme satisfaction de voir cette athlète réussir son projet sportif. Rappelons qu’en juin 2012, au moment de débuter le coaching, Mél avait pour objectif de terminer le triathlon M de Chantilly. De saison en saison, la barre à franchir a été placée de plus en plus haute malgré ses importantes contraintes familiales et professionnelles. Sans sa rigueur, son investissement sur le long terme et le soutien de sa famille, ce chemin n’aurait pas pu être possible. Elle a su accepter les conseils et être suffisamment patiente pour atteindre le niveau sportif qu’elle a aujourd’hui. Un immense bravo !

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Julien Cornut : 11h01’05. 27ème M40-44 & 114ème scratch. NAT : 1h05’15 | VELO : 5h46’46 | CAP : 3h57’43.

Parfaitement préparé et, pour la 1ère fois, épargné par les pépins physiques, l’objectif de Julien était de réaliser un marathon à son niveau, c’est-à-dire un niveau « lapin de garenne ». Le chrono cible était de 3h30′ (le parcours de Bolton est loin d’être plat). Sa performance a donc un goût d’inachevé. Les raisons de sa baisse de régime en course à pied sont identifiées. Laissons lui le temps de récupérer avant de repartir pour une prochaine bataille.

 

IRONMAN ZÜRICH

> Stéphane Lhomme : 9h21’15. 2ème M35-39 & 25ème scratch. NAT : 57’53 | VELO : 4h58’14 | CAP : 3h19’53.

La date du 24 juillet 2016 était cochée sur son calendrier depuis de longs mois. Stéphane Lhomme, comme à son habitude, a été présent au rendez-vous en faisant preuve d’une redoutable maîtrise de son sujet. Il décroche son slot pour la grande finale Ironman à Kona en octobre prochain. Il n’y a pas eu de place au hasard dans la préparation de Stéphane. L’homme est terriblement méticuleux. Son exigence extrême est sans aucun doute son meilleur atout. Stef est constamment en recherche d’une optimisation de son entrainement, un point clé pour espérer performer sur une épreuve de plus de 9h en conciliant d’importantes contraintes familiales et professionnelles. Stephane a débuté l’entrainement intensif en triathlon avec BPC en juillet 2014. A ce titre, nous sommes très fiers de son niveau sportif actuel. Sa formation n’a pas été un long fleuve tranquille. Il a dû surmonter de nombreuses difficultés, aujourd’hui effacées par un fort sentiment de satisfaction. Bravo Stef ! Tu peux être fier du chemin parcouru.

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> Denis Levieux : 10h50’30. 48ème M45-49 & 343ème scratch. NAT : 1h00’50 | VELO : 5h10’16 | CAP : 4h32’52.

La journée avait formidablement bien débuté avec des chronos sur les segments natation et vélo fidèles aux prévisions. Malheureusement, Denis n’a pas été épargné par son tendon d’Achille qui s’est révélé de plus en plus douloureux au fil des kilomètres. Denis traîne cette douleur depuis plusieurs mois et nous savions qu’elle contrarierait probablement sa progression sur la course.

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> David Dechamps : 11h05’30. 70ème M40-44 & 405ème scratch. NAT : 1h04’54 | VELO : 5h17’01 | CAP : 4h35’04.

Cette performance encourageante finalise une année de reprise triathlétique pour David. Plusieurs ajustements seront à mettre en place lors de sa prochaine préparation.

CR de David :

« Voici un petit résumé de l’ironman de Zurich hier ou je suis finisher ainsi que ma fille en ironkids (fière).

Départ natation en rolling start donc propice pour mettre en place une belle nage, les bras vont bien et je me sens à l’aise dans un élément que je n’apprécie pas, seul problème je zigzague non stop, impossible de nager droit. Bilan 1h04 (PR) pour 4,35kms au Garmin. Objectif 1h05. T1 ras (à priori….). Départ velo Catastrophe, pas de dossard, retour à T1 recherche du sac dans un amas d’autre sac de la même couleur, galère, stress, rage…. Je trouve finalement et j’enfourche mon bike. Consigne du coach ne pas s’emballer, donc je reste tranquille, bien posé, je pense faire le premier tour en un peu plus de 2h05. Suite à une erreur d’entaxe de pédalier je suis contraint de prendre le départ de cet Ironman avec un développement de 53/39 en 12/25, donc les cuisses ont légèrement chauffées sur le deuxième tour que je fais en me relâchant à partir du 150kms en prévision du marathon, chrono 5h14(PR) pour un objectif de 5h15. T2 Top. Départ marathon consigne 4’50/km premier tour tout va bien, tu te dis que c’est peut être le bon jour, la prépa de Ben donne ses fruits, deuxième tour un peu plus dur mais je passe le Semi en 1h45. Le Moment du drame, le ventre explose, les gels qui passent plus…

Et voilà bilan 11h05, très loin de mon objectif mais je suis un éternel optimiste donc je positive, en plus aujourd’hui les jambes sont particulièrement souples, pas envie mais je pourrais aller courir. 2016 est une Année de reprise pour préparer 2017, 2 bons chronos en nat et velo donc on continue et reprise de l’entraînement au retour car maintenant place aux vacances en famille en Corse.

Merci a ma famille, au coach et aux personnes qui me soutiennent. Bravo et félicitations à tous les BPC, mention particulière à steph pour sa deuxième place dans sa catégorie qui lui permettra de passer de bonne vacances en famille à Kona. »

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> Bruno Saint-Pierre : 11h31’54. 108ème M35-39 & 525ème scratch. NAT : 1h09’39 | VELO : 5h26’09 | CAP : 4h47’36.

Après une contre-performance à l’IM Afrique du Sud, Bruno a tenté de rebondir rapidement en Suisse. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le résultat n’est pas satisfaisant. Le recueil de données nous ont permis d’identifier les difficultés rencontrées et les ajustements futurs à réaliser.

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> Badr Rharbi : 11h32’07. 98ème M30-34 & 526ème scratch. NAT : 1h06’35 | VELO : 6h12’37 | CAP : 4h03’32.

Badr a joué de malchance en étant victime d’une explosion d’un pneu au km 96. Il déboursera plus de 30′ dans l’affaire.

Bad nous raconte le déroulement de sa journée :

« Voilà maintenant presque 1 an que je me suis inscrit a cette course avec plusieurs copains de Nanterre! Un hiver laborieux et bien studieux Grace au coaching de Ben, une prépa bien maîtrisé à part quelques blessures bien classique dans une préparation IM. Arrivée jeudi sur place et l attente est longue, on nage vendredi dans le lac et petite séance déblocage samedi avec Denis et Bruno! Je rencontre également David a l auberge en vitesse samedi soir juste avant d aller se coucher. Arrivée au parc, tous les voyants sont au vert, pas de stress, bref journée de sport classique 😉

Départ natation, quelques problèmes d orientation et du mal à voir quand est ce qu il faut tourner, je sors avec 3880 m sur Garmin en 1:06, un poil plus que l objectif de 1:05.

La transition un peu longue et je file sur le bike. Premier tour, pile poil dans la puissance cible, en 2:43, les sensations sont excellentes même si je commence à me poser la question si je vais pouvoir faire un 2ème tour dans la même cible.  96ème km : Bing/ pneu explose d un coup…. Je m arrête le pneu est déchire! Je vérifie la jante et il y a un Pete a l intérieur de la gente! Je discute avec un passant cycliste qui me propose de réparer la roue avec un morceau de carton! J essaie ça marche pas! Le pneu dégonfle! Pas le choix, j arrête la moto arbitre qui appelle la moto Scott! 34 min de perdu au bord de la route! L’ arbitre est à deux doigts de me pénaliser pour aide mais voit que je galère déjà et a été cool! Bref je récupère une roue en 12/25 basique et je repars! Bref, déjà content de pouvoir reprendre le départ même si il y a une part de dégoût à préparer une course pendant 6 mois et se retrouver dans cette situation. Velo boucle en 6:12, un temps vélo moins bon sur la seconde boucle le 12/25 sur le 2ème tour m a également fait souffrir. Sans l incident, j étais parfaitement dans le temps cible de Ben 🙁

Bref je dépose le bike/ pose pipi pendant la transition et hop C est parti / le gel pris à T2 me reste au ventre et j ai du mal à attaquer la cap à l allure cible. Au bout de 2 km ça va beaucoup mieux. Je vois les copains avec qui je m entraîné régulièrement à plus de 30 min et j ai grave les boules, plus la tête à faire un chrono à pied! Je reste très régulier sur toute la cap! Je m arrose à chaque rabiot / coca / eau / gel gu / j entends le « bip bip » classique des Bpc, je reconnais Stéphane qui a une superbe foulée… Je croise Denis avec qui je discute / la famille est bien la, je finis la cap dans un bon état sans grosse défaillance/ les jambes sont lourdes mais avec une grosse frustration de ne pas avoir atteint l objectif qui me paraissait à portée! Bref dégoûte, mais à voir la joie des enfants à l arrivée et la joie que tous les copains sont finishers, C est vite passé! Petit jacuzzi ! Petite bière ! Petit burger ! Petite deuxième bière et la vie reprend son petit rythme;) Cap 4:03 et total à 11:32! Bonne recup à tous les BPC et vivement les prochains objectifs! Un grand merci à Ben a qui j ai progresse sur les 3 disciplines cette année 😉 »

 

CHALLENGE ROTH :

> Grégory Aillet : 12h04’53. 352ème M40-44 & 1622ème scratch. NAT : 1h22’59 | VELO : 5h55’07 | CAP : 4h38’43.

Après 1h22’59 d’effort aquatique; Greg s’est élancé avec le sourire aux lèvres sur les 180kms vélo avec pour objectif un chrono de 6h. Au final, il réalise un temps de 5h55′. Dans les clous. Malheureusement, sur le marathon, Greg sera terrassé par l’émergence de maux de dos. Ces douleurs avaient déjà fortement perturbé sa préparation quelques semaines auparavant.

Voici son CR :

« 26 juillet 2015 – 17 juillet 2016. Presque un an entre l’obtention du précieux sésame et le départ. Un an pour faire bien les choses pour battre mon « record », passer sus les 4h au marathon. J’ai tout fait pour ça, j’ai mis toutes les chances de mon côté : coaching avec BPC, qui m’a permis de progresser dans de nombreux domaines, stage en Espagne avec les amis Rilliettes et des athlètes au Top. Plus de 160 k de NAT, 4000 km de bike, 800 à pieds, le travail a été fait. Il ne reste plus qu’à concrétiser. L’organisation du voyage a Roth fut un peu compliquée avec le désir farouche de Cyprien de m’y accompagner. Désir finalement rendu possible grâce à Manon et à une super famille triathlète du CRV (encore merci Eric et Carine, si vous me lisez). Grâce à Arnaud, la partie logement et organisation sur place se déroulera sans accros avec une super famille d’accueil.

J-4 : Briefing avec Ben, les recommandations sont claires et quelques phrases de ce briefing raisonneront en moi durant cette longue journée.

J-3 : Dernier check du vélo chez le vélociste.

J-2 : 10h de route pour rejoindre Roth. J’adore ces autoroutes allemandes qui ne sont qu’une succession de bouchons ! On arrivera tout de même à temps pour retirer les dossards, visiter le village expo.

J-1 : Visite tranquille d’Abenberg puis direction Hilpostein et la T1. Près de 45’ de queue pour accéder au parc, mais tout est en place.
Retour au camps, baignade, barbecue avec notre famille d’accueil et dodo vers 22h30.
Pas de stress, tout cas apparent, mais un sommeil qui tarde et n’arrivera que vers 2h du mat.

Jour J :

4h20 : levé, sport dej, gâteau sport. Je lève mon Cyprien et Manon et notre hôte nous amène gentiment à Hilpostein. Tout est en place. C’est grandiose. On voit le départ des Pro, puis je me dirige sans stress, concentré dans ma vague.

07h25 : coup de canon, c’est parti. L’eau est parfaite : 19,7 °C. Pas de bagarre, je peux mettre mon diesel en route. Je repense à toutes les consignes et essaye de nager proprement et efficacement.
Je n’ai pas trop de repère, mais j’ai l’impression d’aller droit. Première bouée, demi-tour. Je vais bien, même si j’ai le sentiment de m’endormir un peu. Alors j’essaye de relancer. On repasse devant la sortie de l’eau. Il faut encore chercher une bouée et ce sera la dernière ligne droite. Je trouve ce segment long et y laisse certainement un peu de plumes et de temps. La sortie approche … elle est là : 1h22. Sur le coup je ne comprends pas. La Garmin m’annonce 1’58 au 100 et 1h22 …. Et merde, à nouveau j’ai pris ma part de rab : 4200 m au compteur. Je suis un peu dépité et compte l’impact sur le chrono final … déjà.

T1 sans encombre. Je décide de mettre tout de suite des chaussettes pour viser plus d’efficacité à T2.

C’est parti pour 180 km de toboggan. Ça part fort, je ne me pose pas de question. J’essaye de rester à 90 tpm. Et me répète « si tu glisses tu perds du temps ». Alors je ne glisse pas et reste un maximum en appui. Les jambes vont bien. Le premier tour passe très bien. J’ai à peine senti la côte de Gredding. Il y a du monde, ça pousse, c’est génial.
Peu avant le Solarberg je vois Cyprien, Manon, Carine et sa fille au bord de la route. Ça fait du bien, des ailes me poussent. J’entrevoie le Solarberg (70ème km). ENORME. Que de monde, là je m’octroie 30’’ en me disant « c’est ton moment Greg, profite ». Je monte le Solarberg en profitant. Il y a du monde partout. Je suis bloqué derrière une nana, impossible de doubler. Pas grave, je communie avec la foule. C’est dingue. Dès que la voie se fait plus large, je double le petit paquet et reprend mon rythme. Je vais bien. J’attaque le deuxième tour. Pas de lassitude, pas de douleurs.
La route se poursuit. Gros kiff au 120ème : je vais bien, j’ai les jambes et double paquet sur paquet. C’est le petit moment d’euphorie qu’on recherche tous. Cela n’aura qu’un petit effet. Alerte au 150ème : mon f#ucky mal de dos revient, alors que pour la première fois depuis trois semaines je pouvais nager et rouler sans le ressentir. Bon, j’essaye de m’étirer, pas simple. J’ai de plus en plus de mal à rester en position aéro. La perspective du retour à l’écurie permet tout de même d’avancer quoi qu’il en soit. J’arrive à Roth, descend prudemment du vélo. Je le laisse à un bénévole et tente de courir pour chercher mon sac. Mal à des orteils, mais pour l’instant le dos n’a pas l’air trop méchant.

T2 assez rapide, peut-être trop, j’oublie de quitter ma veste de vélo. Tant pis.

Au début les jambes vont bien, le premier km passe en 4’45, trop vite. Puis j’essaye de me caler sur l’allure définie (5’10-5’20). Allez, je le sens bien … mais après seulement quelques km, une dizaine, les douleurs reviennent dans le dos, puis descendent dans les deux fesses. Je gère en veillant à rester dans les temps pour faire moins de 4h, mais les douleurs s’intensifient au même rythme que mon oral baisse. Quand je vois que je ne pourrai plus faire moins de 4h, c’est carrément la bérézina. Je marche, cogite, ai envie de tout plaquer. On se motive comme on peut et je repars à un rythme avec un bon compromis douleur / envie de voir a finish-line. Je trouve le parcours interminable. Je ne peux plus le voir ce canal, ces ponts. Arrive le 36ème, et j’entends allez Papa :inlove: . Gros moment d’émotions partagées. On en a la larme à l’œil tous les deux : je suis désolé de ne pas aller plus vite, désolé de ne pas accomplir ce pour quoi nous sommes venus. Cyprien est lui surtout soulagé de me revoir, lui qui m’attendait plus tôt. A son habitude il me poussera ces derniers km pour courir un tant soit peu. Dernière boucle dans Roth, et ça y est j’atteins la finish line. Je ne sprinte pas, je profite, soulagé, déçu, heureux, triste. Je ne sais pas quel temps j’ai fait, c’est devenu secondaire. A mon habitude je ne profiterai pas du ravito gargantuesque d’arrivé. Il me faut du temps avant d’avoir une quelconque envie d’ingurgiter quoi que ce soit.

Fin de journée passée sur le site avec la Finish-line party, monstrueuse. Ça fait du bien, on en profite. Retour au bercail 1h du matin rincé. Bilan : très mitigé ente la satisfaction de la vitesse en NAT, le chrono du vélo qui est celui que j’espérais, et la grosse déception du marathon. 12h04 au final, je l’apprendrais le lendemain. Finalement vues les conditions ce n’est pas trop catastrophique. Ce qui laisse d’autant plus de regrets. Le soir même il ne fallait plus me parler d’IM, d’entrainement, de triathlon … maintenant je n’ai qu’une envie, faire tomber les 4h. D’où certaines hésitation pour 2017 entre l’Embrunman entre Rilliettes, ou un IM proposant un profile plus roulant où cet objectif peut être atteint. Traditionnel, mais toujours sincère : merci à tous ceux qui m’ont aidé, soutenu, supporté (au sens propre et figuré) dans cette aventure. Merci Ben pour tes conseils, ton écoute, tes mises au point. Il m’aura en fallu du temps pour comprendre certaines choses sur l’entrainement et je compte bien désormais en profiter pour être plus performant en 2017 ! »

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HALF DIJON :

> Corinne Hatin se classe 3ème féminine en 5h01’29. NAT : 33’54 | VELO : 2h50’59 | CAP : 1h32’44.

 

[STAGE] :

Comme en 2015, nous avons choisi la station pyrénéenne de Font-Romeu pour le stage de mi-saison en raison de son climat, de son relief et de la qualité de ses installations sportives. Le programme du stage visait à optimiser la préparation des épreuves longue distance des mois d’août et septembre. 6 stagiaires ont participé à cet événement. Pratiquement 30h d’entrainement ont été cumulées au cours des 6 jours de stage.